LINUX notes d’installation/configuration
Sommaire
Ubuntu v11 - Notes de travail
Personnaliser le lancement par GRUB : sudo gedit /etc/default/grub puis modifier : - parametres : timeout, default… - affichage : décommenter (ôter le #) de : #GRUB_GFXMODE=640x480 Application des modification : sudo update_grub Si on modifie directement /boot/grub/grub.cfg, il faudra périodiquement refaire les changements. Clavier : verrouillage numérique : installer le paquet numlockx et ajouter ce qui suit à la fin du script (sudo gedit /etc/gdm/Init/Default) : if [ -x /usr/bin/numlockx ]; then exec /usr/bin/numlockx on fi Navigateur Firefox : problèmes de non affichage : - des caractères italiques : installer les fonts (cf package) ttf-dejavu complêtes (et pas seulement core) - intolérance aux emboitements de balises <span>
Archives du XXe siècle
Dernière mise-à-jour : 19 nov. 2000.
Avertissement : cette page, générée rapidement avec Star-Office à partir d’une notice entrée sous Word, est : a) "en construction" ; b) le fruit d’une expérience limitée à un type d’installation ; c) n’aborde que certaines questions rencontrées en cours de travail.
Présence et conservation d’une partition Windows préexistante (Windows 98):
- Editer les caractéristiques du matériel : sur le bureau cliquer sur Poste de travail / Panneau de configuration / Système / Gestionnaire de périphériques / Imprimer / Tous périphériques et informations système.
- Défragmentation préalable sous Windows. Pas forcément nécessaire si le disque n’a jamais été très occupé. Inconvénient de l’utilitaire defrag : en cours de reclassement, il met des fichiers à l’autre extrémitié du disque ; à la fin, il arrive que certains restent là. Dans ce cas, FIPS refusera de partitionner : il faudra lancer d’autres defrag jusqu’à regroupement intégral des fichiers.
- Segmentation non destructive par FIPS.
- Création de la disquette de travail :
- FORMAT A: /S (création d’une disquette de démarrage).
- Ajouter sur cette disquette les modules FIPS.EXE et RESTORRB.EXE qui se trouvent en général dans le répertoire DOSUTILS.
- Redémarrer le pc sur la disquette, lancer fips.
- utilisation de FIPS :
- Le partitionnement n’est effectif qu’au moment où on le valide. A chaque nouveau partitionnement, une sauvegarde du secteur d’amorçage du disque est mise sur la disquette, avec un numéro de version. Le programme RESTORRB permet de recupérer la sauvegarde que l’on veut, et notamment de retrouver l’état initial du disque.
- Se contenter de définir une deuxième partition, on affinera lors de l’installation. Retirer ensuite la disquette, redémarrer sous Windows, et lancer les programmes pour vérifier le fonctionnement normal.
- Création de la disquette de travail :
- Première installation :
- Méthodes de boot usuelles :
- Sur le cdrom. Si ce n’est pas encore le cas, rendre le cd bootable (ordre conseillé : a-d-c). Cela se fait en accédant au BIOS (en général : touche Suppr/Del au démarrage) .
- Par une disquette de démarrage : sur le cdrom Mandrake par exemple, dans le répertoire DOSUTILS, lancer Rawwrite (version pour windows de Rawrite) et insérer une disquette vierge. Sélectionner d:\images\cdrom.img ; puis write (sur a:, présenté par défaut). Une fois le rawwrite terminé, redémarrer avec la disquette et le cdrom toujours en ligne. L’installation commence.
-
Généralités sur les partitions des disques durs.
- Types de partitions.
- Un disque peut avoir jusqu’à 4 partitions primaires ; la
dernière peut contenir un nombre supérieur de
partitions dites étendues.
- Windows ne sait reconnaître sur un disque qu’une partition primaire plus une partition étendue. Si on rajoute donc une partition étendue, le lecteur D (en général le cdrom) deviendra E, etc.
- Méthode préconisée : créer des partitions normales (sans préjudice de partitions étendues en fonction des besoins) : pour windows, il n’y aura pas d’autres lecteur et aucun changement. En revanche, Linux aura accès à tout le disque. Remarque concernant la distribution Mandrake 7.0 et + : pour avoir le choix entre partition primaire et étendue, prendre l’option "expert" à l’installation.
- Un disque peut avoir jusqu’à 4 partitions primaires ; la
dernière peut contenir un nombre supérieur de
partitions dites étendues.
-
Stratégies de partitionnement.
-
Solution minimum :
- partition de SWAP (taille = 2 fois la mémoire vive, maximum utile 128Mo.
- Partition unique pour tout le reste : / .
- Solution moyenne (protection du système pour les connexions intra/internet) : aux deux partitions du minimum, ajouter des partitions pour /home, /var et /tmp.
-
Solution
évoluée : pour obtenir une protection serrée,
nécessaire notamment pour un serveur. Partitions spéciales
pour : /usr, /usr/local, /usr/src, /opt. Explication et
tailles :
- /boot : 10 Mo.
- / : 100 Mo.
- /usr : 600 à 1500 Mo.
- /usr/local : 400 Mo. Logiciels personnels.
- /usr/src : 128 Mo. Sources du noyau.
- /var : 64 Mo, ou le plus grand possible pour un serveur.
- /home : données utilisateurs.
- /opt : comme /usr/local.
- /tmp : au moins 300 Mo.
-
Solution minimum :
- Types de partitions.
- Méthodes de boot usuelles :
-
Configuration
de X (serveur graphique) : Comment se débrouiller avec
LINUX-XFREE86 ne connaissant pas le chipset intel 810 :
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Installation initiale :
- Dans Xconfigurator, choisir la carte intel 740 generic. A ce stade, l’écran en mode graphique n’affiche qu’une portion d’écran, très agrandie.
- Pour afficher l’écran entier et commencer à travailler en mode graphique, remplacer le serveur SVGA par VGA16 (en attendant mieux). Pour cela, modifier le lien de « X » ; commande à frapper sous « root » : ln -sf /usr/X11R6/bin/XF86_VGA16 /etc/X11/X
- Frapper : startx [Entrée] ; le windows manager choisi (KDE ou autre) apparaît avec une résolution de 480x600.
-
Installation du support Xfree86 pour le chipset Intel i810 : Cf SuSe Support Database, conseillant d’aller voir à : http://www.suse.de/en/support/download/ftp/index.html (cocher la case pour version anglaise?) ; aussi : http://support.intel.com et : http://support.intel.com/support/graphics/intel810/linuxinstal.htm, les modules trouvés finalement à : http://support.intel.com/support/graphics/intel810/linuxsoftware.htm. Il faut récupérer : I810Gtt-0.2-4.src.rpm (module du noyau) et XFCom-i810-1.2-3.i386.rpm (serveur X de la famille intel i810).
-
Installation :
- Serveur : taper la commande : rpm -Uvh XFCom_i810-1.2-3.i386.rpm
- Module du kernel : rpm --rebuild I810Gtt-0.2-4.src.rpm puis : rpm -Uvh /usr/src/RPM/RPMS/i686/I810Gtt-0.2-4.src.rpm (l’emplacement /RPM? : voir le résultat de la commande précédente).
-
Modifier /etc/XF86Config :
-
ajouter : Section « Device »
- Identifier « i810 » EndSection
-
ajouter
la section Screen qui suit, ôter toutes les autre svga,
conserver la section vga16.
Section « screen »
Driver « svga »
Device « i810 »
Monitor « «
Subsection « Display »
Depth 8
Modes « 640x480 » « 800x600 » « 1024x768 »
ViewPort 0 0
EndSubsection
Subsection « Display »
Depth 16
Modes « 640x480 » « 800x600 » « 1024x768 »
ViewPort 0 0
EndSubsection
Subsection « Display »
Depth 24
Modes « 640x480 » « 800x600 » « 1024x768 »
ViewPort 0 0
EndSubsection
Endsection
éditer les lignes « Modes » (annuler par # celles dont on ne veut pas).
Reconfigurer le lien « X » : ln -sf /usr/X11R6/bin/XFCom_810 /etc/X11/X
Relancer le serveur : startx -- -bpp 24
-
ajouter : Section « Device »
-
Installation :
-
Menu
de démarrage Windows/Linux avec utilisation de loadlin :
- Repérer le noyau : voir dans /usr/src/linux/arch/i386/boot : il s’agit de zlmage ou bzmage.
- Créer un répertoire dans la partition dos (exemple si Windows est dans /mnt/dos : mkdir /mnt/dos/loadlin.
- Copier le noyau : cp /boot/vmlinuz-2.2.14-15mdk /mnt/dos/loadlin/vmlinuz
- Redémarrer sous dos. Monter le cdrom de la distrib : Dos> copy d:\dosutils\loadlin.exe c:\loadlin
- Dans le CONFIG.SYS, repérer les lignes : Device=C:\windows\command? Et : Country=033,850,C:\?
-
Installation initiale :
Avant ces lignes, insérer :
[menu]
menuitem=WIN,Windows98
menuitem=LIN,Linux
menudefault=WIN,10
[WIN]
Après ces lignes, insérer :
[LIN]
shell=c:\loadlin\loadlin.exe c:\loadlin\vmlinuz root=/dev/hda3
Adaptations :.Nom de la partition de boot : ici hda3, à modifier selon l’installation qui a été faite ; y penser aussi en cas de réinstallation. Changement de noyau : dans la partition dos (c:\loadlin), renommer l’ancien noyau, et copier le nouveau.
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Implémentation de tn5250 (émulation 5250) :
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Récupérer tn5250-0.15.7-Chad.i386.rpm Voir par ex. http://tucows.eunet.fi/termnt.html ou http://linuxberg.unisys.com.br/conhtml/net_remote.html ou encore http://linuxberg.surfnet.nl/conhtml/net_remote.html.
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Installer : rpm -ivh tn5250-etc.
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« patcher » : cd /usr/local/lib puis : cp lib5250.so.0.0.0 lib5250.so.0
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Pour lancer directement :
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cd /usr/local/bin
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puis : ./tn5250 -m fr nomsys
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créer un script tn.sh dans $HOME/bin (au besoin créer bin/) :
#!/bin/bash
/usr/local/bin/tn5250 -m fr nomsys (ou autre)
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puis : chmod 755 tn.sh
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et : alias tn='./tn.sh'
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